Un minimum d’amour
JEON Gyeong-nin
Au décès de la seconde femme de son père, Huisu, la narratrice, se met en quête de sa demi-sœur. À la faveur de rencontres et sur les conseils d’une couturière ambulante, elle en retrouve la trace près de la frontière qui sépare les deux États coréens. Avec humanité, l’auteure pose un regard lucide sur la fragilité des liens affectifs.
C’est lors d’un séjour à Berlin que Jeon Gyeong-nin a imaginé le périple initiatique de ces âmes en peine qui, d’un minimum d’amour, renouent avec le passé pour retisser des liens rompus par la trahison ou l’indifférence.
Roman traduit du coréen par Chung Jiwon et Guillaume Jeanmaire
C’est lors d’un séjour à Berlin que Jeon Gyeong-nin a imaginé le périple initiatique de ces âmes en peine qui, d’un minimum d’amour, renouent avec le passé pour retisser des liens rompus par la trahison ou l’indifférence.
Roman traduit du coréen par Chung Jiwon et Guillaume Jeanmaire
Un récit onirique à la frontière des deux Corées
Romancière à succès, diplômée de littérature allemande, Jeon Gyeong-nin est lauréate de nombreuses distinctions dont le Prix du Dong-a Ilbo pour sa nouvelle La Lune dans le désert (1995).
Elle a depuis publié de nombreux romans : Un bateau en verre sur une plage inconnue (2001), Bonbon caramélisé (2002), L’Habitude de la passion (2002), Papillon (2004), Le Ruban rouge (2006), Un déjeuner sur l’herbe (2010), Cheville en tête (2017), Les Particules associables (2018), Double jeu (2019) ; ainsi que des nouvelles, La Femme à la chèvre (1996), Une histoire sur une robe aux motifs en gouttes d’eau (1997), La Philosophie de son boudoir (2003). Jeon Gyeong-nin illustre la psychologie féminine et dénonce la difficulté des femmes à s’émanciper des codes sociaux.
Elle a depuis publié de nombreux romans : Un bateau en verre sur une plage inconnue (2001), Bonbon caramélisé (2002), L’Habitude de la passion (2002), Papillon (2004), Le Ruban rouge (2006), Un déjeuner sur l’herbe (2010), Cheville en tête (2017), Les Particules associables (2018), Double jeu (2019) ; ainsi que des nouvelles, La Femme à la chèvre (1996), Une histoire sur une robe aux motifs en gouttes d’eau (1997), La Philosophie de son boudoir (2003). Jeon Gyeong-nin illustre la psychologie féminine et dénonce la difficulté des femmes à s’émanciper des codes sociaux.